Le très beau pont médiéval Notre-Dame avait considérablement souffert des effets du temps, et l’arche de crue avait été comblée. L’étude préalable à la restauration du pont proposait de dégager cette arche, de consolider et restaurer les maçonneries du pont, piles et tabliers. La réfection de la calade de sa chaussée était également proposée, accompagnée d’un marquage de sa partie piétonne.
Etude préalable à la restauration générale remise en 2005
Maîtrise d’ouvrage : DRAC Languedoc-Roussillon